Aelya

Bon, eh bien, désolé de ne pas avoir posté plus tôt la description de mon personnage, mais est-il que je me retrouve sans cesse occupé par ma famille, entre les corvées ménagères, et le petit.

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Présentation

Nom : Suckone
Prénom : Aelya
Âge : Environ 25 ans
Équipage : Aucun
Job : Chasseuse de primes
But : Écumer les mers pour traquer les pirates.

Physique

D’apparence élancée, la jeune femme n’en est pas moins dangereuse. Ses longs cheveux blancs cascadant le long de son dos lui donnent un air plus que sauvage. Quant à ses yeux vairons, l’un étant d’une couleur pourpre, tandis que le deuxième, de couleur vert, est sans doute le seul à laisser transparaître son humeur, le plus souvent meurtrière.

Sous ses vêtements moulants, toujours dans un subtil mélange mêlant le noir et le rouge, se cache un corps fin, magnifique, si proche de la porcelaine, mais toutefois zébré de cicatrices, là encore dues aux multiples supplices de son tortionnaire, Arlequin

Bien que la jeune femme soit une belle escrimeuse, se battant toujours avec un katana dont la lame a été forgée à même d’un morceau de pierre lunaire noire, sur laquelle sont inscrites les runes suivantes : « Vers un monde de destructions ». Son œil Pourpre détient un immense pouvoir, semblable à la « magie » des mages bleus, qui leur permettent d’analyser le moindre geste des mouvements, et donc de les parer. Mais Aelya ne sait pas encore maitriser cet immense pouvoir…
De plus, elle détient une force incroyable, et une vitesse faramineuse.

Caractère

Maltraitée depuis sa plus tendre enfance, Aelya n’accorde pas sa confiance au premier venu. Généralement, il faut plusieurs années pour que la jeune femme puisse donner sa confiance à quelqu’un.

Ayant passée sa vie à souffrir, la jeune femme est terriblement mature pour son jeune âge. Ce qui en résulte est le fait qu’elle soit capable de prendre des décisions importantes, ou encore des responsabilités toutes aussi importantes. Grâce à cette souffrance, Aelya pourrait faire une excellente leader.

De nature peu joviale, elle est souvent froide, distante et quelque peu méfiante. Mais quand le temps est à la fête, elle n’hésite pas à se lâcher quelques heures, afin d’alléger son cœur, alourdie par son passé dramatique.

Puisque qu’Arlequin, le pirate traître qui lui servait de compagnon, ne lui donnait pratiquement qu’à manger de la nourriture pour animaux, tout ce qu’Aelya goûtera sera pour elle un véritable festin, aussi infect que les plats soient-ils.

Enfin, à cause des multiples sévices et tortures qu’Arlequin lui infligeait, Aelya a fini par adopter un comportement masochiste. La jeune femme passe donc la plupart de son temps à se taillader la peau.

Histoire

La pleine lune, bien visible depuis les profondeurs de la nuit, éclairait la ville plongée dans les ténèbres, tentant de fuir un rude hiver. Les flocons de neige tombaient comme des plumes, esquivant une silhouette dissimulée dans un imperméable. Ses pas gravés dans la neige se recouvraient peu à peu de neige.

L’homme portait dans ses bras une chose qui remuait, vivante, dont les cris stridents résonnaient à travers les obscurités de la ville. Le porteur semblait se diriger vers une maison encore plus luxueuse que les autres bâtiments que composait la cité. Au bout de quelques minutes bien silencieuses, il déposait la précieuse vie sur le palier, murmura quelques mots avant de toquer à la porte, et s’envola dans une brume de noirceurs.

Un homme, vêtu de blanc, ouvrit la porte, et apercevant l’être minuscule qui remuait dans les linceuls glacés par le froid mordant, se pencha pour le ramasser, tandis qu’un sourire à la fois sadique et sinistre se dessina sur ses lèvres.

– Une fille, se dit-il à lui-même, quand il eut jeté le linge dans la rue, avant de refermer la porte, petite, je vais te nommer Aelya.
Je remercie le con qui t’as posée ici, il n’aurait pas dû, en tout cas cela me fera un nouveau jouet de plus.


– Allez, pétasse, magnes-toi le cul, faut qu’on bouge d’ici, l’avis de recherche est parvenu jusqu’ici.
– Encore, Maître ? Mais cela ne fais que quelques semaines qu’on vit ici !

Cela faisait plus de vingt ans qu’Aelya parcourait le monde avec le même pirate, ce dernier s’amusant à faire d’elle son jouet, en lui infligeant des tortures de plus en plus douloureuses, humiliantes, en l’obligeant aussi à le nommer « Maître ».
Et si Aelya désobéissait au moindre de ses ordres, le « Maître » ne se gênait pas pour augmenter la violence des tortures d’un cran.
Combien d’années exactement ? Vingt-quatre, vingt-cinq ? Elle en avait perdu le compte, tous simplement.

Le pirate tortionnaire qui lui servait de compagnon avait un comportement irrespectueux de tout autrui, égoïste, avare, orgueilleux… Aelya n’avait jamais su son prénom, mais elle avait donné le joli nom d’Arlequin, qui correspondait bien avec ce beau salopard.

Ce dernier avait les cheveux constamment en bataille, noir, s’harmoniant à merveille avec ses yeux noirs, presque sataniques, signes d’une cruauté et d’une machiavélique sans limites. Son costume noir, élégant, n’étais pratiquement jamais sali, malgré les nombreux combats qu’il a enduré.

Aelya observa d’un œil fluide chaque détail de la ville : les deux complices se trouvaient dans une ville portuaire, cernée par des montagnes en forme de croissant. D’un côté, l’océan, de l’autre, les montages. La jeune femme arrêta son analyse, un gargouillement tirailla un peu son estomac, lui rappelant qu’il fallait remplir ce dernier.

Soudainement, d’un geste fluide, si rapide que les personnes qui suivaient la scène avec attention ne virent pas le mouvement qui s’effectuait sous leurs yeux, Arlequin agrippa le poignet ; couverts de cicatrices, de plaies, et de blessures ; de la jeune femme aux cheveux blancs, puis le tira, tandis que des gerbes de sang giclèrent de ce dernier.

Aelya ne peut ne s’empêcher de pousser un hurlement, non pas de douleur, mais de plaisir.
La jeune femme avait oublié, avec ces années qui semblaient être une éternité, qu’elle avait finie par adopter un comportement masochiste, à cause de ce connard d’Arlequin.

– La prochaine fois que tu t’amuses seule, évite de t’entailler trop profondément, et laisses donc faire les pros.
– Maître, mes méthodes, comparées aux vo…

Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’une lame géante passa devant ses yeux, tandis qu’Arlequin se baissa pour l’éviter, obligeant ainsi à ces deux derniers de lâcher leur étreinte, cette dernière s’enfonça dans un mur, fissurant ce dernier au passage.

– Il est déjà de retour, le petit Ryû, hein ?! Murmura Arlequin à lui-même, alors, quoi de neuf ? S’adressa-t-il au dénommé Ryû, comme s’il s’agissait d’un ami qu’il n’avait pas revu depuis des années.
– Arlequin, quand j’ai dis que j’aurai ta tête, je l’aurai ! Et je te jures que je t’étripe avant de t’arracher la tête à mains nues, je n’ai pas trop apprécié le coup fumeux que tu m’as fait tout à l’heure.
– Ryû, aide-moi ! A chaque fois que j’essaie de fu… Hurla Aelya, pleine de désespoir.
– Ta gueule ! Coupa Arlequin.

Le chasseur de primes fit sortir de ses paumes une longue lame, tellement longue que cette dernière pouvait couper simultanément Aelya et l’Arlequin. Ce dernier, d’un coup bien placé, envoya Aelya vers… un étalage de fruits et légumes ! La jeune femme se réceptionna donc sur les cartons, s’écrasa sur le sol, entraînant dans sa chute les divers aliments.

Ne pouvant résister une minute de plus à sa famine et à la tentation, elle se saisit du premier fruit le plus proche, qui ressemblait plus ou moins à un ananas, à la seule différence près que des lignes noires se scindaient, se joignaient sans cesse sur chaque parcelle du fruit. Aelya porta donc le fruit à ses lèvres, et y croqua avec plaisir.

Le goût du fruit semblait fade, mais comparé aux plats que lui forçait à avaler Arlequin, ce fruit était en réalité un véritable festin. Aelya crut même y percevoir un arrière-goût sucré. En quelques minutes, du fruit il ne restait qu’un trognon.

La jeune femme aux cheveux blancs se releva, et apercevant le rude combat qui se déroulait sous yeux, quelque chose se produisit : les deux combattants, Ryû et Arlequin se dédoublèrent, leurs doubles prenant une matière quelque peu spectrale. Ces spectres semblaient effectuer les mouvements des guerriers avant même qu’ils ne débutent. Quant aux deux rivaux, leur vitesse de mouvement semblait s’être ralenti, pourtant tous les spectateurs peinaient à suivre le rythme faramineux du combat.

Le spectre d’Arlequin feinta à droite, tandis que Ryû, tombant dans le piège, reçu un coup qui lui coupa le souffle, le forçant à mettre un genou à terre, tandis que la lame noire du pirate trancha tranquillement la tête du chasseur de primes.

Aelya visualisait déjà la fin du combat, que le réel Arlequin venait d’entamer sa feinte mortelle, ne voulant pas que Ryû meurt, la jeune femme aux cheveux entreprit alors de joindre le combat. Alors qu’elle venait dans leur direction, dans la ferme intention de tuer Arlequin et de sauver Ryû, une lame spectrale sortit du sol à une vitesse faramineuse, peu de temps après, et la lame réelle lentement du sol. Aelya tendit la main tout en reculant d’un pas pour éviter le coup mortel, et se saisit de l’arme.

La défenseuse de Ryû s’élança, tandis que la lame d’Arlequin se rapprochait lentement mais dangereusement du cou de Ryû. Aelya vit à ce moment que des écailles ornèrent le cou du chasseur de primes, protégeant ainsi ce dernier. La jeune femme para le coup d’un Arlequin interloqué, et Ryû en profita pour se mettre dans le dos du pirate, alors que le spectre du chasseur de primes tranchait déjà la tête du pirate spectrale.

Quelques minutes s’écoulèrent, qui semblait une éternité pour Aelya, et la tête d’Arlequin vola véritablement dans les airs. La jeune femme, sans même se retourner, sentit l’approche de trois marines, venus en renfort pour aider Ryû. L’un de ces derniers était porteur d’un fruit du démon.
Les autres villageois avaient désertés depuis belle lurette la place, depuis le début du combat, selon Aelya.

L’un des marines se rapprochât d’Aelya :

– Petite, tu n’as pas encore de prime, libre à toi de t’enrôler dans les marines, ou de devenir chasseuse de primes.
– De toute façon, si elle devient pirate, je me mettrai à la traquer. Car m’aider à tuer Arlequin n’est pas à la portée du premier venu. Au fait, tu as mangé un fruit du démon entre-temps, avant que je vienne ici ? Ton œil gauche a conservé sa couleur verte, tandis que l’autre a pris une teinte pourpre.

Aelya n’avait pas le choix : élevée depuis sa plus tendre enfance par un de ses pirates sanguinaires, elle n’avait plus la force de ressembler à l’un de ses derniers. Aelya avait été dégouté de l’envie de devenir pirate, tous simplement. De plus, avoir Ryû sur le dos dès le début de sa carrière lui semblait être un choix suicidaire.

– Merci, Ryû, je préfère suivre ta voix, plutôt que celle-ci, prononça Aelya en pointant du doigt le cadavre d’Arlequin.

Ainsi, Arlequin étais mort, et Aelya étais libre, elle pouvait désormais volait de ses propres, et frôler le soleil pour se brûler ces dernières, car la jeune femme savait au fond d’elle-même qu’elle aimait la douleur.

Aelya était libre, libre pour de nouvelles aventures !

Fruit du démon

Nom (fr) : Fruit de la programmation
Nom (jap) : Kaji Kaji no Mi

Type : Paramécia

Effets :

-Programmer les objets pour leur donner un nouveau usage.[/list]

Fonctionnement :

- Programme à usage unique : Chaque programme n'est valable qu'une seule fois, et se termine quand l'objectif visé est remplie. Il faut donc reprogrammer l'objet pour le réutiliser de nouveau.

Spoiler:

Contraintes :

• Le pouvoir d’Aelya n’affecte pas les personnages, autrement dit, elle ne peut pas programmer un suicide d’une personne.
• Tout objet en granit marin ne peut pas être manipulé.
• Tout objet concentrant du haki, quel qu’il soit, ne peut pas être programmé.
• Les programmes de type "permanent" et "avancé" prennent plusieurs heures à être codés.

Techniques

Vu le nombre d'effets que l'on peux choisir pour définir un objet, Aealya annoncera ses attaques comme suit :

Kaji Kaji No + effet de l'action désirée.

Voici quelques exemples :

- Kaji Kaji No Projection : Programmes un objet quelconque pour le projeter sur l'adversaire.
- Kaji Kaji No Déviance : Programmes un objet quelconque pour contrecarrer un projectile.
- Kaji Kaji No Explosion : Programmes un objet quelconque pour le faire exploser, et détruire tous les items se trouvant dans une portée de deux mètres.
- Kaji Kaji No Vibration : Programmes le sol pour le faire parcourir de vibrations, et déstabiliser tous les adversaires.
- Kaji Kaji No Volonté Propre : Dotes une volonté/une conscience à un objet, et retournes ce dernier contre son utilisateur.

Bref, les seuls limites de ce fruit étant mon imagination.