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Inspiré de One piece, notre Forum RP t'ouvres ses portes. Pirate, marine, vendeur de ramen, qui que tu sois, oseras tu t'aventurer à travers de nouveaux territoires ?
Emploi Barde du Crépuscule, Musicienne, Chanteuse, comédienne d'Opéra.
Grade Colonel de la Marine
.:: Descriptions ::.
Caractère:
Le moins que l'on puisse dire, c'est que son caractère ne semble suivre aucune logique, ne comprenant pas les sentiments en dehors des mélodies portées à travers les notes et les chants, la rendant asociale et inexpressive la plupart du temps, car ne possédant pas la même logique que les gens lambda. N'exprimant de sentiments visibles uniquement dans l'éphémère et si passionnant art qu'est la musique à ses yeux. Bien souvent ses réactions sont totalement décalées vis à vis de la situation. Son lourd et dramatique passé a fait d'elle une coquille vide de toute émotions, ne sachant que jouer la comédie pour paraitre le moins bizarre possible de temps à autre. Un esprit torturé plus de raison, détestant par dessus tout les fausses notes car aimant la perfection, la poussa dans sa différence, dans sa calme folie, mais néanmoins sa perception différente du monde la rendit brillante et bien plus intelligente que la normale. A première vue elle semble plutôt ahurie mais c'est un véritable génie. Pour elle honneur ou loyauté ne sont que des mots dénués de sens, comme tous les autres d'ailleurs, les mots pour elles sont des sons exprimant d'autres notions, d'autres significations. De plus c'est un véritable garçon manqué, pas une once de féminité ne ressort de son comportement. Un de ses plus grand atout est la perfection de sa voix, pouvant passer d'un timbre légèrement aigu et innocent teinté de pureté, à une voix plus glaciale voir angoissante, mais restant parfaitement mélodieuse, surtout lorsqu'elle chante. Sa voix suave et gracile est considérée comme l'une des plus belle à travers tout Grand Line, pour rester modeste, car il est sur qu'aucune voix ne peux égaler son timbre si particulier, bien qu'elle adore fumer ou boire, elle reste comme éternelle, sans doute une particularité que lui offre son fruit. On dit qu'elle peut captiver et toucher tous les cœurs, même les plus démoniaques et infâmes, de quelques mots qui sonnent en poésie, ce qui lui donne un charisme envoutant et inquiétant.
Physique: Pas très grande, son physique est néanmoins harmonieux. Son visage est plutôt innocent, de ses traits fins et de ses yeux perçants. Doté d'une agilité et vivacité surprenantes et d'une grande résistance physique, bien que s'entrainant énormément elle ne dispose pas vraiment d'une force sortant de la moyenne. Ses longs cheveux sont d'une couleur sombre, un noir de jais au couleur d'aquarelle, venant contraster avec les ténèbres de ses yeux de couleur froide et glacée, d'un bleu clair variant selon l'exposition lumineuse qui vient s'y refléter selon les moments de la journée plus ou moins ensoleillés. Ses pupilles au clair de lune prennent une autre beauté, plus cristalline mais néanmoins fascinante par sa pureté. Renforcé par l'étrange pâleur du teint de sa peau qu'elle arbore, et unique touche de couleur de sa part, venant renforcer son regard dans le profond abime qui semble y miroiter. Ses tenues sont toujours assez masculines, mais d'une esthétique indéniable. Elle ne porte jamais de couleurs, sa garde robe se composant uniquement de noir, quelques fois variant dans les teintes allant du clair au foncé dans différents tons. Des fils noirs sont enroulés autour de ses avants bras et de ses tibias, et passent facilement inaperçus. Bien souvent elle les utilisent d'une façon bien originale, recréant la forme d'une harpe par son agilité naturelle, et leur donnant vie sous ses doigts. Deux dagues sont cachées dans son dos grâce à une sorte de harnais sous ses vêtements. Dans l"une de ses poches elle garde toujours des cigarettes dans une petite boite d'acajou d'un luxe certain bien que portant une inscription bizarroïde,ainsi qu'un briquet. On peut noter qu'elle porte des tatouages sur l'ensemble de son dos et de ses épaules.
.:: Histoire ::.
Histoire :
Orphée était le plus grand poète de tous les temps. Sa musique était si divine que lorsqu'il jouait les rivières cessaient de couler, les vents cessaient de souffler, et les cieux s'ouvraient afin de permettre a ces mélodies enchanteresses d'être entendu par les dieux au paradis. Si une personne était à même d'être considéré comme l'égal d'Orphée, le divin troubadour, ce ne pouvait être qu'une certaine Kanon Yuusha, surnommée Opera.
Il y a quelques années, au port d'une des iles les plus isolées et mystérieuses, bastion des exilés et pires hors la loi que le monde ait engendré.
Un navire jeta l'ancre dans ce port. La populace locale ne s'en soucier guère, ne prêtant plus attention aux va et viens plus que douteux des voyageurs. Leur regard fut quand même quelque peu attisés au début. Deux personnes descendirent du navire, qui était plutôt impressionnant, un navire de guerre aurait fait pale figure face au mastodonte de l'ile des dragons. L'une semblait être une personne d'importance, escortée par l'autre qui avait l'air peu commode.
Jeanne LeonasVII, Chevalier de la Garde de Silmalith.
Jeanne : "Yuusha-sama."
Kanon : "Qu'y a t'il?"
Jeanne : "Je ne voudrais pas paraitre insolente envers vous loin de là, mais prendre autant de risques inutiles ne me parait pas raisonnable."
Kanon : "Je n'ai pas le temps de jouer. Ce n'est pas inutile comme tu sembles le penser. Je conçois qu'à vos yeux cela n'est qu'égoïsme mais je compte profiter de notre escale sur ces terres afin d'y vérifier mes informations."
Jeanne : "Notre escale est dans le but de donner votre représentation, pas d'y poursuivre vos désirs de vengeance."
Kanon : "Nous ferons d'une pierre deux coups, je ne te demande pas ton avis"
Jeanne : "Ainsi soit t'il Yuusha-sama."
Parcourant le port à la recherche d'un endroit apparemment précis, elles s'arrêtèrent devant une auberge, qui semblait un peu délabrée, et avait traversé les ages.
Kanon : "Ce doit être ici."
Jeanne afficha un air lascif, avant de suivre sa protégée à l'intérieur . Le peu de lumière qui baignait dans la pièce était quelque peu inquiétant et donnait une atmosphère lourde et quelque peu sinistre. Une personne était assisse dans le fond à une table, la pénombre ne permettait en rien de le distinguer, à part que l'on pouvait déduire que c'était un homme. A part lui personne d'autre que le tenancier qui fixer d'un œil livide les deux nouvelles clientes.
Jeanne : "Par tous les dragons d'Eluna... Qu'est ce que j'ai fait pour mériter ce spectacle?..."
Tenancier : "Quesqu'ce ce language ? On sert pas de dragonde lune içi!!"
Kanon : "Deux verres de l'alcool le plus fort que vous ayez en cave suffiront."
Tenancier : "Ah cha cha fait plaizir à servir!!" cherchant dans le comptoir parmi les bouteilles en faisant un sacré raffut.
Kanon s'assit à la table de l'inconnu.
Pierrot Bolneze, Clown itinérant
Kanon : "Tu aurais pu choisir un endroit plus convenable Pierrot. Pourquoi ici?"
Pierrot : "C'est parce que je suis un clown!!" s'exlama t'il soudainement.
Jeanne fit des yeux en boule de loto en entendant ça, puis se rapprocha pour mieux distinguer l'homme mystère, et il s'agissait bien d'un clown.
Jeanne : "Yuusha-sama... qui est ce... clown?"
Kanon : "Un vieil ami. Pierrot Bolneze." Le tenancier revint et servit trois verre d'alcool fort douteux. Dans la bouteille on pouvait voir une..."chose"...
Aubergiste : "Et voila!!"
Jeanne : "Heu... Dites moi..." regardant la bouteille déconcertée "Comment faites vous pour faire passer le ... crapaud... a l'intérieur de la bouteille?"
Aubergiste : "ah bah cha on l'fait sécher et puis alors y d'vint tout fin et y rentre, et puis avec l'humidité y regonfle." commençant a remplir les verres.
Jeanne : "Pas trop." pas rassurée.
Aubergiste : "Voila!!"
Pierrot : "Merci." affichant un sourire clownesque.
Aubergiste : "Alors ca y faut l'boire cul sec , autrement ca vous brule la langue." s'envoyant un verre de la mixture louche sous les yeux des trois clients. "Ah ca fait du bien!!, allez à vous maintenant."
Pierrot : "Ben à la votre hein."
Jeanne : "...santé." tenant le verre devant elle de moins en moins rassurée. "...puis bonne chance surtout."
Soudainement le bouchon sauta violemment.
Pierrot : "Ah bah le bouchon a sauté." hilare.
Ils burent d'une traite. Jeanne s'étouffa, Pierrot tomba dans les pommes tandis que Kanon le dégustait sans problèmes.
Jeanne : "C'est fort" toussant fortement.
Aubergiste : "Ah ca c'est pas une boisson pour mauviettes!!"
Kanon : "C'est fruité."
Jeanne : "Qu'est ce que c'est que cette merde?" devenant rouge et d'une voix érayée.
Aubergiste : "C'est de la liqueur d'échalote, mais c'est relevé au jus d'ail, sinon l'échalote seule ca serait trop fade."
Kanon: "Ah c'est goutu, hein? Ça a du retour."
Jeanne : "Oh la vache." Après s'être remis de leurs émotions, Pierrot tendis un vieux livre qui semblait dater de plusieurs siècles , l'ouvrant à une page précise qui arborait une illustration.
Kanon : "La lance de Longinus..."
Jeanne : "... cette lance n'est qu'un mythe."
Pierrot : "Tout mythe ou légende naissent de la réalité."
Kanon : "C'est un livre très intéressant mais ça ne nous dit pas où chercher."
Pierrot : "Ah ah ah !!! peut être bien, mais il est une piste que vous pourriez peut être exploiter..."
Jeanne : "Attendez, ne me dites pas que... Oh bon sang, par tous les dragons de Silmalith..."
Kanon : "Je pense que ça mériterais que l'on si intéresse."
Jeanne : "Yuusha-sama... Votre représentation à lieux dans moins de quatre jours."
Kanon : "Certes."
Pierrot : "Ah ah ah j'espère que tu nous à réservé des places!!"
Jeanne : "Ce "nous" fait référence à?"
Kanon : "Leonas-kun, je te les présenterais bien assez tôt."
Pierrot : "Ce dessin montre la dernière famille détentrice de la lance, les Van Huten. Depuis sa trace à disparut. Si mes suppositions sont exacte, la personne la mieux placée pour connaitre l'emplacement de la lance est la fille de la famille Van Huten, et devine quoi Ka-chan?"
Kanon : "Ne m'appelle pas comme ca."
Pierrot : "Il se trouve qu'elle sera à ta représentation, car c'est une grande fan de toi, tu pourras donc en profiter."
Jeanne : "Vous semblez oublier une chose, La lance de Longinus est la propriété de la famille Huten depuis la nuit des temps, et vous comptez vous l'accaparer? Vous avez perdu la raison? Sans compter que si vous vous en accaparez, cela déclencherais un conflit."
Kanon : "Dit lui Pierrot."
Pierrot : "En fait, la lance est convoité depuis la nuit des temps, dernièrement une rumeur dit que sa trace est réapparut et nous avons était contactés pour la récupérer."
Jeanne : "Nous?"
Kanon : "Pierrot fait partie d'une sorte de troupe d'artiste. Mais comme tu dois le savoir, il est dur de subsister seulement avec ce métier, donc ils effectue des fois d'autres petits boulots à coté"
Jeanne : "Je ne vois pas le rapport avec vous Yuusha-sama."
Kanon : "Pierrot est en quelque sorte un vieil ami, il m'a demandé un coup de main sur cette affaire."
Pierrot : "Oui, les informations que tu pourras récolter auprès de la fille Van Huten nous seraient précieuses, mais personne ne peut l'approcher vue sa garde personnelle. Mais vu que ton spectacle ne la laisse pas indifférente il y a de grande chance pour que tu puisse t'entretenir avec elle."
Jeanne : "Bien, je n'irais pas contre votre volonté Yuusha-sama mais réfléchissez bien."
Kanon : "C'est tout réfléchit." Sur ce, après avoir payé l'addition au tavernier, ils se dirigèrent tous les trois vers le port pour voguer en direction de l'ile des Dragons.
Jardins Royaux après la représentation, Silmalith, loge de Kanon Yuusha.
Kanon se trouve seule dans sa loge après la représentation, assisse dans un grand fauteuil se tenant devant un miroir, elle y boit une bouteille de saké directement au goulot. Un silence angoissant régnait dans les lieux, chronométré par les tic et tac d'une vielle horloge. Quelqu'un frappa a la porte. Kanon soupira et répondit quelques secondes après d'entrer. La porte grinça légèrement, ce qui fit un peu froncer Kanon des sourcils. Ouvrir la porte si timidement qu'elle en grince, quel ennui pour elle.
Kanon : "Entrez."
Kanon observait la personne qui allait apparaitre derrière la porte dans le miroir. En effet, le fauteuil était dos à la porte. Une frêle jeune femme, aucun doute là dessus le plan se déroulait comme prévu, c'était bien Elehayym Van Houten.
Elehayym Van Houten
Elehayym : "Je vous remercie d'accepter de m'accorder quelques instants."
Kanon : "A ta convenance."
Elehayym : "Je vous admire depuis très longtemps et c'est comme un rêve de vous rencontrer..."
Kanon : "Je vois."
Elehayym : "Je me nomme Elehayym Van Huten."
Kanon : "Un nom bien compliqué. Approche je ne vais pas te manger, ...ou pas."
Un peu déconcertée, elle avança timidement, apparemment impressionné par l'artiste et son manque de politesse. Kanon la fixé dans le reflet. Elle heurta le fauteuil maladroitement.
Elehayym : "Ah!! excusez moi... je..." se reculant.
Kanon : "Soit tu es très maladroite soit tes yeux ont perdues leur lumière."
Elehayym : "Je..."
Kanon : "Je vois." Se relevant elle s'approcha de la jeune filles aux yeux malades et la regarda droit dans les yeux. "Que veux tu ?"
Elehayym : "Est ce que... je me suis toujours demandé comment était votre visage, pourrais je le toucher? je pourrais m'en faire une idée..."
*Toucher mon visage...*
Kanon : "Tu viens ici, manque de t'affaler sur moi et maintenant tu veux toucher mon visage... Tu ne manques pas d'audace."
Elehayym : "Je ... Je comprends, oubliez tout ça!!" Se reculant vers la porte pour sortir, rouge de honte.
Kanon : "Je ne t'ai pas dit que tu pouvais sortir. Je n'en ai pas finit avec toi." L'attrapant par la main. "Si j'accepte ta requête il va falloir que tu accepte la mienne." remontant la main prisonnière de la sienne vers son visage.
Elehayym : "Une requête?!"
Kanon : "Exact. Tu comprends vite. Une fois que tes doigts auront touchés ma peau tu devra l'honorer."
Elehayym : "honorer... votre peau...?" confuse.
Kanon : "Je parle de la requête que je te formulerais..."
Elehayym : "Ah mais ... non je ne peux pas si je ne sais pas ce que c'est avant..."
Kanon : "Perverse." Lâchant sa main et s'éloignant, se réessayant dans le fauteuil. "Parle moi de la lance de Longinus."
Elehayym : "Que..."
Kanon : "Ta famille s'est transmis cette artefact de génération en génération, tu dois bien savoir quelque chose."
Elehayym : "Comment êtes vous au courant?"
Kanon : "Oh allons, ne fait pas l'innocente. Si tu sais quelque chose, contente toi de me le dire comme une gentille fille."
Elehayym : "Hum... d'accord si ca peut vous faire plaisir."
Kanon : "Tu vois ce n'est pas bien compliqué, et tu auras droit à une récompense."
Elehayym : "Une... récompense?"
Kanon : "Toucher ma peau."
Elehayym : "Hum... Je ne sais pas..."
Kanon : "Allez, ce n'est pas comme si je te demander de tuer quelqu'un ou quelque chose du genre."
Elehayym : "C'est vrai..." Elehayym réfléchis quelques instants et se décida à parler.
Elehayym : "La lance de Longinus est transmise de génération en génération à la famille Van Huten, qui en est la gardienne. On dit que son pouvoir est d'accomplir la volonté du guerrier qui la manie, elle peux amener de glorieuses victoires comme les plus vils carnages sur un champ de bataille. Nul ne peut stopper sa trajectoire, ni même un dieu ou un démon ne peut l'arrêter. Mais la lance a disparut depuis plusieurs décennies, nul ne sait ou elle repose à présent."
Kanon : "Plutôt mince comme informations. Tu ne m'aide pas vraiment là."
Elehayym : "Je n'en sais pas plus désolé..."
Kanon : "Je vais quand même te donner ta récompense."
Se relevant, elle s'approcha d'un pas certain mais minutieux vers la jeune aveugle, jusqu'à une proximité dérangeante, que quelques centimètres séparés les deux femmes. Kanon pris l'une de ses mains et l'escorta jusqu'à hauteur de son pale visage, la déposant sur la peau de l'une de ses joues, et la relâcha. Fixant les yeux sans flammes, elle leur accorda la vision du toucher. Les doigts passèrent légèrement sur ses joues. La seconde main vint se poser sur l'autre, et lentement effleuraient le visage invisible. Plus l'idée se faisait clair et plus un réaction de surprise et de motivation se dessinaient aux fils des traits du visages de l'artiste dans les fins mouvements de touché.
Elehayym : "Incroyable... votre visage est si... incroyable..."
Kanon : "En bien j'espère..." pensant qu'elle s'imaginait quelque chose de difforme ou de quelque chose du genre.
Elehayym : "Je sent un visage d'une inconcevable beauté... mais à la fois incroyablement triste et hanté par la douleur..."
A ces mots Kanon attrapa violemment les deux mains qui se tenaient sur son visage et les écartas, prise d'une sensation d'agression à son égard. Les mots l'avait dérangés, ils étaient si juste, comme si ces mains pouvaient voir à travers elle comme dans un livre ouvert.
Kanon : "C'est terminé, tu as eut ce que tu voulais je crois, tu peux t'en aller."
Elehayym : "Je ... je suis désolé je ne voulais pas vous contrarier..." Se rendant compte que ses paroles l'avaient apparemment perturbée.
Kanon ne pris même pas la peine de répondre et retourna s'assoir, dans un silence plus qu'équivoque, mais faisait clairement passer son message. Elehayym compris tout de suite, et se dirigea vers la porte. Avant de la refermer derrière elle ajouta quelques mots.
Elehayym : "Yuusha-sama, je m'en excuse si je vous ai blessé, j'ai toujours était une idiote depuis que je suis née, voir un fardeau, je ne voyais que les ténèbres de ce monde jusqu'au jours ou j'ai découvert votre musique. Elle est pour moi la lumière qui éclaire la noirceur de mon chemin. Je vous en remercierais toujours..."
*Ma musique de la lumière qui éclaire les ténèbres... voila une vision bien saugrenue ... une vision aveugle de la réalité de ce monde*
Comment on en était arrivé là, c'est la question qu'elle se posait. Après une longue et périlleuse aventure à la recherche de la Lance de Longinus, en compagnie de Leonas, Pierrot, et Elehayym qui les avaient rejoins. Un adversaire inattendu et aux noirs desseins venait tout détruire. Leonas était morte, elle avait donné sa vie pour les protéger, Pierrot gisait sur le sol non loin, et Elehayym agonisait dans les bras de Kanon.
Elehayym : "Tu sais... j'aurais aimé que cela se passe autrement..."
Kanon : "Ne parle pas, garde tes forces."
Elehayym : "Je sais que je vais mourir..."
Kanon : "..."
Kanon lança un regard vers Leonas, qui était morte, elle, l'un des chevalier les plus puissants de tout Silmalith, s'était fait balayer comme un fétu de paille par une tornade.
Elehayym : "Je ... je sais que ce n'est peut être pas le bon moment pour dire ça mais... je ... je t'aime depuis toujours..."
Ces mots perturbèrent Kanon.
Kanon : "qu'est ce que tu aimes chez moi?"
Elehayym : "Ta gentillesse...ta beautée... et tu es mon prince... qui pourrait me sauver...à chaque fois que j'ai des ennuis"
Kanon : "Ne t'en fait pas."
Elehayym : "N'y va pas s'il te plait..." perdant connaissance.
Kanon : "Ne t'en fait pas."
Pour la seconde fois de sa vie, des larmes coulaient sur ses joues, émue par ces mots.
Elle posa ses lèvres sur celles d'Elehayym, puis se releva et pris la direction du Port, vers lequel elle allait livrer un combat perdu d'avance.
Kanon: "Pierrot, je compte sur toi pour prendre soin d'elle."
Pierrot : "Kanon... n'y va pas...Freya est bien trop puissante."
Kanon : "Leonas a donné sa vie pour vous protéger... Je dois y aller, et la tuer à n'importe quel prix. Si je ne le fait pas Silmalith sera en danger, on ne dois pas lui laisser la Lance de Longinus." Au loin elle disparut.
l'affrontement entre deux combattant peut revêtir un sombre voile sanguinaire, alerte, le frisson vif glaçant le sang, le souffle de la mort rafraichissant l'atmosphère. Une tension dense et épaisse dans l'air, obnubilante représentation chorégraphique mais mortelle. Aucune pitié, mais seulement volonté et désir de vaincre. Une brume de souffrance et de sang, d'angoisse et de courage entremêlés.
Freya : "Pauvres mortels. Vous pensez être capable de m'arrêter. Silmalith brulera et avec elle, tous les traites qui ont aidés à la chute du véritable Roi, mon père."
Kanon : "Si je n'arrive pas à te tuer, mon frère le fera, tu ne lui arrivera jamais à la cheville."
Kanon n'eut pas le temps de porter sa premiere attaque que Freya brandis la lance légendaire, et d'un coup semblant figer le temps, transperça Kanon de part en part et l'envoya par dessus bord depuis une falaise, dans la mer.
Freya : "Bientôt... oui très bientôt, vous connaitrez tous le même sort."
Le courant emporta Kanon, vers une petite ile au sud non loin de la précédente ile, survivre à ca fut un véritable miracle en soi. Le destin est bien ironique, car cette ile était son ile d'origine... et de nombreuses épreuves et révélations l'y attendait.
Quelque part en pleine mer, vingt ans auparavant.
Depuis plusieurs jours, le radeau des survivants du massacre dérivait au milieu de nulle part, chaque jours qui s'écoulait leur faisait perdre un peu plus du peu de raison qui leur restaient... Les quelques rescapés du navire étaient vouées à mourir de faim ou de soif, cela n'était qu'une question de temps.
* J'ai...j'ai si mal...pourquoi suis je toujours en vie?... Je veux mourir afin de vite les rejoindre... afin de n'être plus toute seule...dans ce froid glacial...ce n'est qu'une question de temps...* Les miracles existent t'ils? pour que le dernier survivant soit une jeune enfant? qui l'aurait cru.
Représentation à l'Opéra de Silmalith, Quinze ans auparavant.
Kanon assistait à un Opéra pour la première fois de son existence aux cotés de son frère adoptif, dans les célèbres Jardins Royaux.
L'Ouest et l'Est sont en guerre. Drago, le héros de l'ouest, pense à sa tendre maria. L'attend elle ?
Les forces de l'Ouest on Tombé, et le château de Maria a été pris. Le prince Ralse a pris sa main de force, mais elle aspire toujours a revoir Drago. Là commence l'aria... sur une tour du château, dans la nuit.
Jusqu'au pont, elle chante seule, puis une apparition de Drago fait apparaitre un bouquet. Elle monte en haut de la tour, s'approche du vide, et chante la deuxième partie, puis elle jette le bouquet dans la nuit, espérant qu'où qu'il soit, Drago le reçoive.
Oh my hero, Oh mon héros, So faraway now, Maintenant si loin, Will I ever see your smile ? Reverrai-je jamais votre sourire ?
Love goes away, L'amour disparait, Like night into day, Comme la nuit dans le jour, It's just a fading dream. Ce n'est qu'un rêve qui s'efface.
I'm the darkness, Je suis les ténèbres, You're the stars. Vous êtes les étoiles. Our love is brighter than the sun. Notre amour brille plus que le soleil.
For eternity, Pour l'éternité, For me there can be, Il ne peut y avoir pour moi, Only you, my chosen one. Seulement vous, mon élu.
Must I forget you ? Dois-je vous oublier ? Our solemn promise ? Et notre Promesse solennelle ? Will autumn take the place of spring ? L'automne va-t-il chasser le printemps ?
What shall I do ? Que vais-je faire ? I'm lost without you, Je suis perdue sans vous, Speak to me once more... Parlez-moi encore une fois...
---(bridge) ---(pont)
We must part now, Nous devons nous séparer, My life goes on, Ma vie suit son cours, But my heart won't give you up. Mais mon cœur ne vous abandonnera pas.
Here I walk away, Je m'en vais donc, Let me hear you say Laissez-moi vous entendre dire I meant as much to you. Combien je compte pour vous.
So gently, Si tendrement, You touched my heart ; Vous avez atteint mon cœur ; I will be forever yours. Je serai vôtre à jamais.
Come what may, Advienne que pourra, I won't age a day ; Je ne vieillirai pas ; I'll wait for you, always. Je vous attendrai, toujours.
Ekusa Yuusha, Roi de Silmalith
Kanon : "je ne comprends pas..."
Ekusa : "Et bien cet Opéra te raconte à travers une musique les sentiments des personnages de l'histoire en quelque sorte."
Kanon : "pourquoi de l'eau salée coule de mes yeux?"
Ekusa : "Je pense que tu as compris le sens de l'opéra hime"
Kanon : "..."
Quelque part en pleine mer, vingt deux ans auparavant.
Un navire au mauvais endroit au mauvais moment est attaqué par un autre navire où pillages, viols, et massacres éclatèrent sous les yeux d'une jeune enfant à la chevelure noire de jais.
*On nous fait croire que la vie est un conte de fée alors qu'elle n'est que ténèbres et désespoir dans le froid glacé du souffle de la mort...* Jamais ces images ne s'effaceront de ses pupilles
Un radeau fut retrouvé après avoir dérivé au fil des courants plusieurs semaines , avec une seule survivante parmi plusieurs corps mutilés.
Au cœur d'une ville, dans une petit auberge, huit ans auparavant.
Un vieil ivrogne après une bagarre, fait la démonstration d'un art plutôt surprenant. Il met KO trois agresseurs plutôt baraqué, semblant pourtant sans défense. Opera assiste à la scène.
*Il cache bien son jeu*
Elle décida de le suivre, n'ayant jamais vu un art de cette sorte, elle voulait apaiser sa curiosité. Son enquête la mena finalement dans un lieux isolé, à une petite maison.
Le lendemain, après avoir pensé la nuit à se remémorer le combat dont elle avait été spectatrice la veille, elle pris la décision de retourner à la cachette du vieillard pour en avoir le cœur net.
Elle tapa a la porte. Aucune réponse, mais elle entendait un rire à l'intérieur. C'est certain qu'il était à l'intérieur. De nature impatiente, elle défonça la porte d'un puissant coup de pied, les gonds en sautèrent.
Le vieillard était assis en train de boire, complètement saoul. Il la fixa d'un air interrogateur.
Kanon : "..."
Vieillard : "C'était même pas fermé !!" puis comme si c'était drôle il se mis à éclater de rire.
Kanon : "ta petite comédie ne marche pas avec moi."
Vieillard : "une co... co... une comédie!!! ou ca ou ca?"
Kanon : "Ne te moques pas de moi !!"
Visiblement Kanon ne voulait pas perdre de temps, et le comportement du vieil homme l'énervait. Elle s'approcha et éclata la chaise sur lequel il était d'un coup de pied balayant le sol. Il aurait du tomber mais à sa grande surprise, il était toujours assis mais dans le vide.
Kanon : "..."
Viellard : "ah ah ah" La goutte d'eau faisant déborder le vase, elle s'en pris sans même réfléchir à lui en lui envoyant plusieurs coups de pieds à tuer un bœuf, que le vieillard esquivait comme par magie, comme si le fait d'être complètement saoul le rendait intouchable.
Vieillard : "eh bien tu t'essouffles vite , ah ah ah !!!"
Kanon : "TSSS!!"
*Si j'utilisai mes pouvoirs ce serait vite réglé.*
Kanon : "j'admets ma défaite."
Vieillard : "AH AH AH , bouh la nulle !!!"
une veine apparaissais sur la tempe de Kanon, mais elle gardait son calme, ne répondant pas aux nouvelles provocations.
*Pourquoi je l'ai attaqué tout à l'heure? ça ne me ressemble pas. Il est très fort je n'ai même pas réussit à le toucher une seule fois*
Kanon : "Vieil Homme. Enseigne moi cette technique."
Vieillard : "AH AH AH!!! t'enseigner ma technique!! t'es plus comique qu'il n'y parait!! Niveau jeu de jambe tu as du talent, mais niveau punch tu vaux rien!!! AH AH AH !!!"
Kanon : "..."
Vieillard : "Va me chercher du saké en ville et reviens."
Kanon : "Et vous me l'enseignerez?"
Vieillard : "AH AH AH"
Elle n'eut pas de réponse mais s'exécuta.
Elle passa la plus grande partie de son enfance dans une immense bibliothèque à lire les ouvrages. Elle n'avait à s'inquiéter de rien, sa famille d'adoption subvenait au moindre de ses désirs. Traité comme une vrai princesse, par l'homme qui la recueillit, et la considérant comme sa propre sœur. Sa soif de connaissances était inépuisable,les années passèrent au fil des milliers de pages qu'elle tournait les une après les autres, ses connaissances devenant de plus en plus importantes, et sa soif de savoir toujours plus grande ne connaissant aucun repos. Ses deux autres préoccupations étaient la musique et la maitrise des arts martiaux. Ses prédispositions dans la musique et les pouvoirs de son fruit du démon lui permirent de maitriser plus vite que quiconque tous les instruments existant ainsi que l'art du chant à la perfection. Après avoir lu tout les livres possibles et imaginable, les connaissant par cœur jusque au moindre mot, et maitrisé l'art de la musique, elle se consacra de plus en plus exclusivement à apprendre l'art du maniement de l'épée, et du combat à main nues. Sa surprenante agilité et sa capacité d'apprendre avec une telle facilité étaient surhumaines, certainement lié au fait que le fruit du démon qui la possédé donné des prédispositions dans la perception des choses et son cerveau ne fonctionnait pas comme les autres. Elle passa aussi du temps à confectionné un art de combat basé sur des sortes de cordes, faites de cheveux noirs de femmes travaillés avec une huile spéciale, les rendant très résistants et sensibles à certaines ondes sonores. Ils imitaient même les sons de réels instruments sous les doigts d'Opéra, lorsqu'elle en jouait. Suite à tout ces efforts, elle devint artiste dans l'opéra , devenant une véritable star au cœur de l'ile après ses magnifiques interprétations. Durant 3 années elle voyagea d'ile en ile, au sein d'une troupe d'artiste itinérante. Pourtant cela la lassa rapidement, et surtout sa volonté de se venger reprenait peu à peu le dessus. Elle décida qu'elle devait faire ce que son cœur lui dicté, la solution la plus simple était vite trouvée, elle rejoignis donc la marine pour en secret trouver le coupable et lui faire payer. Afin d'apaiser ses propres démons.
QG de la Marine, Marine Ford, Quatre ans auparavant.
Kanon suivit la formation en partant du bas de l'échelle au QG même de la Marine, une dure épreuve surtout pour une femme en général, mais pas pour cette femme la. La sévérité ruisselait comme l'eau d'un lac sur un rocher sur son inébranlable volonté. Pour faire simple elle était détestée par ses camarades qui suait sang et eau alors que pour elle tout lui semblait si facile, même les formateurs ne la supportait pas pour tout dire et étaient particulièrement après elle.
Deux autre marines un jour décidèrent de lui donner une leçon. Ils profitèrent qu'elle soit seule dans la salle de repos et qu'elle se soit assoupit. L'un des marines lui lança une violente gifle, elle broncha a peine.
Marine 1 : "Elle est réveillée."
Marine 2 : "T'es bien sur?"
Le premier Marine afficha un sourire idiot et tenta de lui en mettre une seconde, que Opera bloqua grâce a sa main en lui attrapant la sienne, puis la serra de toutes ses forces.
Marine 1 : "OH LA VACHE !!!!" semblant avoir mal et en se tenant la main des que Opera avait relâche son emprise.
Kanon : "Je suis réveillée." lança t'elle en sortant de son sommeil et en se mettant en position assisse.
Marine 1 : "Eh tu m'as presque pété le poignet !!"
Marine 2 : "Le formateur nous a dit de nous en méfier, elle est dangereuse."
Marine 1 : "C'est faux c'est des conneries. Tu voudrais que j'ai les foies devant ce tas de merde, non mais regarde la tu vois pas que c'est une loque."
Opera restait impassible devant les insultes et poussa le vice jusqu'à lui dire :
Kanon : "Cigarette?" Le Marine resta un peu con mais joua le jeu.
Marine 1 : "Cigarette ? ouais bien sur. t'en veux une?" sortant un paquet de cigarette de sa poche, il le tendit ouvert vers Opera qui en prie une.
Kanon : "Tu l'allumes?"
Le marine resta encore plus con, avec ses yeux idiots la fixant.
Marine 1 : "Ouais... je l'allume ..." prenant un briquet d'une autre de ses poches. Opera mis la cigarette dans sa bouche, le Marine tendis le briquet allume de sa main gauche, et dune feinte , , attendant que le visage d'Opera s'approche, lui décocha un violent coup de poing droit dans le visage.
Marine 1 : "ah ah ah ah ah ah!!!" "t'es bien allumée? tu vois Rico croyais que t'étais une dur (Marine 2). Rico s'est trompe." Les deux marines se moquèrent en cœur. Opera lui lança un regard qui en dit long, avant de rétorquer :
Kanon : "J'ai fait tomber ma cigarette. Tu m'en offres une autre?"
Les deux Marines se lancèrent un regard plutôt confus.
Marine 1 : "Oui... oui y a qu'a demander..." Il repris le paquet qu'il avait tantôt rangé et le retendit avec une cigarette qui dépasse, que Opera prit.
Kanon : "Tu l'allumes?" le fixant longuement, avant de rajouter calmement cette fois ci : "Touche moi encore et je te tue."
Le marine pris son briquet en marmonnant, "cette meuf est folle..."
Dans le même geste il tendit le briquet d'une main et profita de l'autre pour lui assener un violent coup de poing dans le visage. Du sang coulait de la bouche d'Opera qui avait encore morfle.
Marine 1 : "C'EST BON MA POTE ???!!!!" cria t'il de satisfaction.
"AH AH AH AH AH!!!!"
Les deux marines se relancèrent un regard entre eux pour se moquer d'elle. Opera qui était encore retournée a cause du coup se retourna lentement, avec un regard de tueuse, puis se releva brusquement et frappa de la paume de sa main contre le visage du Marine, ce qui lui encastra le nez dans le crane, il tomba a genoux avant de s'écrouler, mort sur le coup.
Rico n'eut même pas le temps de réagir.
Kanon : "Je t'avais prévenue." crachant le sang qui lui restait dans la bouche sur la dépouille inanimée, avant de lui faire les poches pour récupérer une cigarette.
Rico : "OH NOM DE..." restant bête, regardant le cadavre de son camarade gisant sur le sol, en s'approchant, tandis que Kanon se rassit tranquillement allumant sa cigarette.
Rico : "Tu as tue Chad, regarde ça il est mort!!" commençant a paniquer.
C'est a ce moment qu'un officier entra dans la salle.
Giotto Vongola Alias "The First" Vice Amiral en Chef de la Marine
Giotto Vongola : "C'est quoi tout ce raffut?"
Rico : "Elle viens de tuer Chad, d'un seul coup de poing, elle lui a rentré le nez dans le crane !!"
Kanon : "Je voulais du feu." balança le briquet vers le cadavre avec nonchalance.
Giotto Vongola : "..."
Après de nombreuses remontrances du supérieur, qui ne tolérait pas ce qui s'était passé et son comportement, Kanon fut surveillée d'un peu plus près, sans doute que l'accident était remonté jusqu'aux têtes pensantes et qu'ils avaient trouvé là une recrue avec un potentiel intéressant.
L'une des facultés d'Opera lui permis d'être engagée occasionnellement à Impel Down, comme assistante du chargé d'interrogatoire. En effet, sa faculté à infligé la souffrance grâce à son fruit pouvait donner des merveilles pour récolter des informations pour le Gouvernement Mondial, de en écoutant les battements du cœur des questionnés, elle arrivé à savoir si c'était la vérité ou pas dans 80% des cas. Opera peu à peu se fit remarqué, en bien, pour ses résultats brillants, et l'aide précieuse qu'elle pouvait représenter pour le Gouvernement Mondial. Elle continuait toujours sa formation de Marine. Les rares fois ou elle fut demandée à Impel Down, apportèrent satisfaction. Bien souvent le prisonnier qui passait entre ses mains ressortait le cerveaux grillé, mais au vue des résultat, on fermait les yeux, après tout un pirate de plus ou de moins, quelle importance. Pour elle c'était une chance de trouver un indice sur ce qui s'était passé dans son enfance, mais malheureusement elle ne trouva rien à part des informations inutiles et dénues de sens pour elle, qui faisait le plaisir de ses employeurs par contre.
Rapidement elle fut diplômée en tant que Marine, ses résultats étaient exceptionnels, bien que son comportement froid et nonchalants ne lui valait guerre de sympathie de la part de ses confrères. Elle commença directement au grade de Sergent. en quelques mois, elle monta rapidement en grade, en devenant Lieutenant. Une année suffit à ce qu'elle accède au grade de Capitaine.
Le soir même de sa promotion elle se trouvait chez elle profitant d'une permission. La nuit faisait scintiller les étoiles. Elle était assisse sur un balcon, les yeux fermés, jouant de la harpe avec une grâce divine, sa sérénade préférée, "Death Trip Sérénade", cette mélodie qui se perdait dans les étoiles donné un tableau au paysage des plus mélancoliques
Ekusa : "Félicitation pour ta promotion, ça ne m'étonne guère."
Kanon : "Merci mon frère." souriant pour la première fois depuis longtemps, trop longtemps, n'ouvrant pas les yeux, en continuant de jouer de la harpe.
Ekusa : "Mais je ne comprend pas ce qui t'as poussé à rejoindre la marine, il te suffirait de rester ici chez toi."
Kanon regarda le ciel en pensant à son rêve à ses motivations, c'est à ce moment qu'une étoile filante passa dans les cieux.
Kanon : "Je sais que tu connais déjà la réponse." Son frère remarqua l'étoile.
Ekusa : "C'est un signe. Je crois que je m'inquiètes pour rien, Hime."
Kanon : "Il n'y a que sur toi que je peux compter et ça restera toujours ainsi."
Nouveau Capitaine, Kanon eut le privilège de choisir le nom de son équipage, et elle n'eut pas à réfléchir longtemps.
La Marine lui fournit un galion mais il ne convenait pas à ses désirs, bien que pas de nature capricieuse, elle fit donc rapidement une commande pour un autre en cachette, selon ses directives par les chantiers de Water Seven, a ses propres frais, ce qui ne lui posait pas de problèmes. Le délai de construction par contre l'ennuya, environ une année. Elle utilisa donc celui que la Marine lui fournit en attendant.
Une année en tant que Capitaine des Fairy Tale s'était déjà écoulée, et nombre d'aventures étaient déjà passées. Les résultats d'Opera dans la Marine en tant que Capitaine étaient plutôt correctes, on avait déjà vu mieux mais la Marine était satisfaite. Si son comportement nonchalant n'étaient pas, ils auraient été certainement bien au dessus de la moyenne, mais on pensait déjà la promouvoir au rang de Colonel. La Marine avait en fait une idée derrière la tête, et cette année était en fait une sorte de test, avec pour projet de nommer un équipage pour certaines missions visant à collecter des informations et d'autres missions, plus ou moins secrètes.
Le nouveau navire d'Opera était prêt, et elle réussit en insistant à l'imposer, rendant l'autre.
Ne s'attendant pas spécialement à sa promotion au rang de Colonel et à de nouvelles directives pour son équipage, la surprise lui convenait, cela la rapprochant toujours un peu plus de son but.